Le temps de la Panique (1ère partie)

Tarquin venait tout droit de Keorock sans arrêt pour se reposer, une nécessité bien moindre pour un vampire. Il connaissait le chemin des cellules car il y était déjà passé dans le passé. Déjà à l'entrée il y avait des gardes qui ne posèrent pas de problèmes car ils dormaient presque. Tarquin les tua bien tranquillement avec aucun poids sur la conscience. Une fois les gardes postés éliminés, Tarquin pénétra à l'intérieur. Il fut surpris par un garde derrière la porte mais profitant de sa grande vitesse, il le supprima de la liste des vivants. Puis après avoir anéanti toute résistance possible, il prit la direction des cellules à proprement parler. Puis ils'arrêta au milieu d'une salle où était enfermés des prisonniers dans leur cellule respectif. Il parla alors d'une voix forte pour dire :

" Amis criminels, l'heure est venue de vous venger et de créer la panique au sein du pays. Libre à vous de faire ce que vous voulez mais ne vous faîtes pas attraper inutilement. Cela n'aurait servi à rien et je viendrai certainement vous éliminer. Mais surtout, ne songez jamais à parler de moi à la police. Le cas échéant reviendrait à votre mort. Bon maintenant, place au spectacle."

Puis Tarquin arracha les portes de cellules qui avaient l'air pour lui de simples para-soleil en bambou. Alors qu'il avaient arraché les portes, un gros dur voulait se mesurer à lui. Ce devait être un des plus respectés de la prison d'ici. Il ouvrit ses bras pour provoquer Tarquin à l'inciter à le frapper puis ajouta :

"Si je comprend bien, il s'agit de t'éliminer afin que nous soyons tranquilles. Allez viens je t'attend. Bah quoi tu as peur ?"

Ce gros bras n'avait même pas pu voir que Tarquin venait de faire le tour de cet homme avant de revenir à sa place initiale. Celui-ci dit alors :

"Tu crois vraiment pouvoir réaliser face à moi ? Inconscient tu es pauvre petit."

Puis Tarquin fonça à pleine vitesse vers cet individu et d'un coup de poing frontal il l'écrasa à l'autre bout de la pièce. Le gros dur se releva mais Tarquin était déjà sur lui avec le bras dans le cou. Il ajouta :

"Tu vois c'est dommage pour toi car tu aurais pu profité de ta liberté mais puisque tu t'es révoltés contre moi, tu serviras d'exemple aux autres au prix de ta vie."

Tarquin écrasa alors le cou au point de rompre la trachée et le larynx. L'homme allait mourir dans d'horribles douleurs. Il cria alors aux autres :

"Y en a t-il d'autres qui ont des contestations !?"

Mais personne ne répondit donc Tarquin sortit alors en direction du palais.