Les yeux "humains" de Sithis

Mona et Tarquin arrivèrent tranquilement main dans la main, quand Mona s'exclama :

"Ouh là là, qu'est-ce que je suis fatiguée moi alors. Bon, je vais nous trouver un refuge, tu me rejoins ?
- Bien sûr, j'ai notre petite affaire à régler puis j'arrive. Laisse notre marque sur la porte. Allez à tout à l'heure si tu ne dors pas encore.
- Je t'attendrai mon coeur."

Mais tarquin resta silencieux à ces mots. Ils se séparèrent, Mona faisant des signes d'affection mais Tarquin n'y répondant nullement. Les sentiments qu'il avait envers elle n'allaient pas plus loin que la fraternité tandis que Mona, elle, laissait son amour la subjuguer.

Mona arriva près d'une grande bâtisse. Elle était presque ressemblante à une maison japonaise traditionnelle. Bien qu'elle ait quelques doutes à propos de ses habitants, Mona déchira volontairement quelques bribes de ses vêtements. Puis elle sonna, la main très grâcieuse et légère. Une sorte de majordome vint lui ouvrir et l'apercevant dans un tel état, il lui dit que la maison n'acceptait pas les clochardes. Mona ne se laissa pas faire et lui répliqua :

"Mais je n'ai posé aucune question." Puis elle lui sauta à la gorge telle une furie et à grands coups de poignard elle lui déchirait la gorge, qui semblait si fragile de son côté. Bien sûr, l'homme l'avait suppliée de lui laisser la vie sauve, ce qui n'était pas dans les habitudes de Mona, qui le termina sous ses cris d'horreur. Bien évidemment, ces cris réveillèrent la maison dont les maîtres de maison ne tardèrent pas à venir à l'entrée pour voir de quoi il s'agit. La femme tomba dans les pommes à la vue du cadavre tandis que l'homme lui, cherchait des yeux l'assassin, invisible dans l'ombre de la maison. Alors qu'il était tourné, Mona s'avança silencieusement jusqu'à l'homme, le poignard prêt à l'emploi. Quand il se tourna, il sursauta et reçut un violent coup de ce même poignard déjà ensanglanté directement dans l'abdomen. Le sang giclait jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus. Fière de son acte, Mona se tourna telle une danseuse en direction de la femme qui s'était relevée et avait disparu. Mona fouilla la maison en chantonnant des airs morbides, appelant en même temps la femme. Elle marchait tranquillement dans la cuisine lorsqu'elle entendit un placard remuer, ainsi que c equ'il contenait. Le placard lui-même semblait trembler. Mona ouvrit d'un coup sec les deux portes et la femme voulut se jeter en arrière mais ne put s'y résoudre car elle touchait déjà le fond du placard. Mona fredonnait toujours ses airs inquiétants, appelant la Mort elle-même. Elle devint plus cruelle pour une raison encore inconnue. Elle rangea son poignard, attrapa le manche d'un balai assez solide, retira la brosse et se mit à mettre des coups roits vers la femme qui chancelait à chaque coup. Tantôt le ventre était touché, tantôt c'était la tête. Cette femme voulut sortir pour s'échapper mais Mona qui arma ses deux bras qui tenaient fermement le manche mit un coup assez puissant qui fit chavirer la pauvre femme. Elle avait été durement frappée dans le dos. Abandonnant le manche du balai, Mona commença à vouloir jouer au football avec la tête de la femme qui semblait vouloir tout de même rester accrochée au reste du corps. Mona en ayant assez de s'amuser, retourna la femme ventre à terre, s'assit sur le haut du dos, attrapa la mâchoire de la fille de ses deux mains et tira d'un coup sec en arrière si bien qu'on entendit les os craquer et la résistance s'effondrer. Elle coupa alors le bras droit de la femme, courut vers la porte et dessina une main assez squelettique dessus. Puis elle cacha les corps dans un placard à balais et s'installa comme si elle était chez elle.

De son côté, Tarquin arpentait la ruelle à la recherche d'un pauvre, mendiant ou qui a juste assez, et encore, pour se nourrir. Il en trouva un au coin de la rue qui dormait presque à même le sol. Il semblait vieux, était très sale et sentait extrêment mauvais. Tarquin le réveilla, lui fit signe de s'asseoir sans s'inquiéter et il commença un monologue en tendant sa main contenant un peu d'argent provenant de l'ancien faux ermite :

"Voici pour vous et votre famille si vous avez. Maintenant écoutez-moi je vous prie. Voilà, on m'a demandé de contacter un certain Yukimura, il devrait être blond, les cheveux relativement blond et mesure environ 1 mètre 80. Il aurait la peau blanche et des yeux bleus. Il porterait un manteau noir long, une capuche et un pantalon de la même couleur. Il serait d'humeur réclameur de pouvoir et désire absolument qu'on le rejoigne sous quoi il nous tuerait. C'est à peu près tout ce que je sais sur cet homme. Je vous serai gré de faire passer le message aux autres mendiants de la ville. Il y a bien sûr des pourboires pour commencer les recherches, un par personne et une distribution d'argent lorque vous l'aurez trouvé, peu importe qui le trouve. Ah oui une dernière chose, ne vous aviez pas de parler de ceci à une autre personne qu'un mendiant ou un pauvre vagabond, sinon, la Mort vous tend les bras mais vous force à l'enlasser."

Puis Tarquin scruta les maisons porte à porte jusqu'à observer celle où la main squelettique était dessinée. Il entra, retrouva Mona mais il avait oublié une chose, le cercueil. Il partit alors en direction d'un magasin de pompes funèbres, où il vola un cercueil qui semblait faire sa taille, bien qu'un peu plus grand, et repartit dans "sa" demeure. Il l'installa à la cave, où la lumière du jour ne filtrait pas. Enfin il revint dans la salle où était installée Mona afin de discuter.

Mona et Tarquin avait dicuté longuement sur ce que pourrait être ce Yukimura et sur la confiance qu'ils devaient porter envers cet Avatar et cette Kisa. Bien que Tarquin se sentait un peu plus rapproché d'Avatar car il était vampire, Mona parce qu'elle le trouvait attirant, la démone restait quant à elle bien mystérieuse. Et s'il faut accepter l'un, il faut accepter l'autre. Ce n'est pas un choix simple. Mais alors que le matin començait à se lever, Tarquin demanda à Mona de vérifier le temps. Celui-ci était composé de nuages très noirs couvrant le Soleil comme la nuit couvre l'assassin. Alors que Mona et Tarquin était sur le point de se quitter pour aller sommeiller, la sonnette retentit à travers la maison. Mona étant assez fatiguée de sa journée, elle ne pouvait pas aller ouvrir, au cas où ce serait une agression style car-jacking mais à l'échelle d'une maison. Tarquin ouvrit alors la porte rapidement, ce qui fit sursauter l'homme derrière la porte. Tarquin le reconut immédiatement, même vêtements rapiécés, l'air maussade, le visage sale, c'était le même mendiant que précédemment. Il parla assez distinctement mais on sentait une légère angoisse dans sa voix :

"Veuillez m'excuser de... de vous déranger de plein matin mais j'ai des informations pour vous. L'homme que vous recherchez, ce Yukimura ou je sais pas quoi là, bah on l'a vu à Malachi. Il aurait tué quelques hommes avant qu'il y en ait qui le rejoignent. On a pas pu très bien le voir dans la nuit mais il ressemblait à ce que vous m'avez dit. Après, c'est ce qu'on m'a dit, moi je sais pas si c'est vrai, je n'ai pas été vérifier. Mais au cas où ce serait faux, je ne voudrais pas être tenu responsable moi donc euh..., dit-il en disposant sa main comme pour recevoir une compensation pour ses propos, j'aimerais bien un peu de blé, le peu que vous m'avez donné, je ne l'ai plus."

Tarquin ne chercha pas à savoir pourquoi il n'avait plus d'argent. Tarquin le remercia donc, lui donna une poignée de dollars. L'argent n'était pas son réel souci, ce qui importait, c'était surtout les informations qu'il venait de recevoir. Il fit donc signe à l'individu de partir, il revint vers la chambre, Mona s'était endormie car n'ayant entendu aucun bruit, la fatigue l'avait gagnée. Tarquin l'embrassa sur le front, et sortit de la maison. Il fallait bien faire gaffe au temps, car à la moindre trace de Soleil, il le sentirait passer. Il prit donc la direction de la capitale, d'où il avait fait sortir Mona de prison, peut-être qu'on se souviendrait de lui...

Tarquin arrivait de Malachi avec Yukimura sur les épaules, un fardeau pas très lourd pour la force que possédait Tarquin. Il rentra chez lui où Mona avait déjà préparé son retour. Elle voulut sauter au cou de Tarquin mais à la vue de Yukimura, elle se retint. Son visage exprimait qu'elle avait une multitudes de questions à poser mais Tarquin lui fit signe de se taire. Tarquin déposa alors Yukimura au sol. Il y avait toujours une odeur de sang qu ireignait dans la pièce mais seulle une créature surnaturelle pouvait le remarquer. Il lui dit alors :

"Ce que je veux, tu le sauras ce soir, quand le Soleil, même caché, aura disparu complètement du ciel. Pour l'instant tu devras être patient ou bien tu connaîtras le sort qui reviendra demain à Avatar. Donc tu attends et tu te tais, parce que mon amie là, elle peut te faire endurer mille souffrances avant que tu ne meures. Donc je serais toi j'attendrai patiemment."

Il prit alors congé de yukimura pour parler à Mona en privé. Il s'enfermèrent dans une autre pièce et peu importe ce que pouvait penser Yukimura d'une telle action. Ce fut Mona qui prit la parole, très impatiente de tout savoir de lui :

"C'est qui ce mec super craquant ?
- Pour l'instant on s'en fout, c'est pas ce qui compte qu'il soit beau ou pas. Bon alors il se prénomme ou se surnomme Yukimura. C'est un humain qui possède deux âmes, il se serait fait posséder par l'esprit de Malpercio. Soit il a son propre esprit et il est alors plutôt calme. Ou alors c'est l'esprit de Malpercio qui le contrôle et là il est "incontrôlable".
- Mais alors à quoi il nous servira ?
- Justement, la réponse viendra peut-être ce soir.
- Cool alors.
- Justement il y a un hic. C'est une opération dangereuse et il se peut que je n'en revienne pas.
- Mais pourquoi tentes-tu alors ?
- Je le fait pour nous, ou plutôt pour toi. Ce n'est pas toi qui veut le garder ? mais là n'est pas la question, je dois attendre que le Soleil ne soit plus là. Ensuite ce sera à moi de jouer mais tu ne pourras pas m'aider. C'est quelque chose que je dois faire seul."

Puis il revint vers Yukimura, attendant une quelconque réponse de sa part.

Yukimura regarda Tarquin, le voyage l'avait un peu sonné.

"Que voulez-vous faire de moi ?! Je ne suis pas une bête à qui vous faites des expériences ! Qui est cette femme ? J'attend des expliquations !"

*Je suis curieux de savoir ce qu'il veut de moi même si c'est au risque de ma vie.*

Il sorti une dague discrètement sans se faire repérer.

Tarquin se demandait pourquoi Yukimura s'inquiétait à çe point, sa propre vie de mortel remontait à loin déjà, soit 310 ans. Cet humain était un peu trop curieux à son goût mais après tout, il s'agissait de son avenir. Tarquin le regarda d'un regard froid, le visage impassible et d'une voix raide, il lui dit :

"Bon puisque tu insistes, cette femme est ma soeur, Mona. Bien qu'elle soit ma soeur, elle m'écoute dans mes moindres désirs et demandes. Ce n'est pas pour autant mon esclave. Et sache que même si c'est ma soeur, je ne me mêle nullement de sa vie privée."

Il regarda alors Mona qui semblait en admiration devant Yukimura. Tarquin en lisant ses pensées, apprit qu'elle semblait intriguée par cet homme, mais également qu'elle était légèrement attirée par ce même homme. Ses yeux brillaient d'une lueur éclatante, son regard fixe témoignaient de cette attirance que Tarquin avait oubliée depuis fort longtemps. Mais il reposa ensuite son regard vers Yukimura, il avait l'air toujours méfiant. Puis il lui dit :

"Bon ce soir, je ne peux pas te dire précisément ce que je vais faire mai en aucun cas mal te sera fait. Je sais que tu ne peux pas trop me faire confiance car tu ne nous connais pas mais si j'ai pris la peine de te sauver au risque de ma propre vie, crois-tu que ce soit pour te tuer ? Je t'aurais alors laissé à ce vampire déjanté. Mais je répète que je ne peux pas t'en dire plus, crois-moi que je l'aurai déjà fait. Maintenant si tu n'y vois pas d'inconvénients, je vais me retirer, Mona te guidera pour la chambre d'hôte, je ne connais pas trop la maison car nous l'avons acquises très récemment et à peine l'avons nous eu que je suis parti pour venir te chercher toi."

Tarquin fit sentir un sourire plus long que la normale, la nuit était tombée parfaitement et Mona semblait très inquiète de l'étrange comportement de Tarquin ainsi que celui de Yukimura qui avait abîmé "leur" sol. Tarquin s'approcha de Yukimura d'un pas assuré, l'air déterminé et le sourire toujours sur les lèvres. Dans sa tête rien ne l'empêcherait d'accomplir ce qu'il voulait. Puis il dit à Mona d'un air aussi calme que pouvait être cette nuit:

"Veux-tu bien nous laisser s'il te plaît ?
- Mais pourquoi faire ? lui répondit-elle encore plus inquiète. Si tu veux le tuer alors je le ferais avec toi.
- Je ne veux absolument pas le tuer."

Alors Mona sortit de la pièce bien qu'elle ne soit pas rassurée pour autant. Puis il se rappela qu'il lu manquait quelque chose et il parla plus fort pour que Mona entende :

"Mona !? Pourrait-tu m'apporter une bassine d'eau s'il te plaît ?
- rrrrrrrrrrrr très bien !"

Elle apporta alors la bassine remplie d'eau à rabord qui manqua de se renverser mais que Tarquin rattrapa. Il la posa au pied de Yukimura, fit un signe de la main à Mona qui s'en alla. Il reprit ensuite la discussion avec Yukimura :

"Ne t'inquiète de rien, si j'avais réellement voulu te tuer je l'aurais fait à la taverne, je n'aurais pas attendu du tout. Maintenant que tout est prêt on peut y aller."

Il sortit une corde à laquelle il attacha Yukimura fermement, il ne connaissait pas ce qui pourrait se passer, c'est juste une simple mesure de précaution. Puis il tenta de le rassurer :

"Pas de violence physique, sois en sûr."

Puis il sortit une fiole contenant un gaz soporiphique. Il la lança à pleine force dans la bassine, fiole qui se brisa et répendit le gaz très vite grâce à l'eau. Tarquin ne bougea pas d'un poil afin de ne pas devoir respirer, il ne dit nul mot pendant que Yukimura s'endormait rapidement. Une fois Yukimura endormi, Tarquin courut vers les fenêtes et les ouvrit en grand afin de laisser passer l'air pour dissiper le gaz. Une fois dissipé, il revient vers Yukimura, qui semblait perdu dans lui-même à travers des songes. Il s'assit contre le mur et y prit appuie. Il soupira une dernière fois, ses yeux bleus clairs devinrent vides, comme sans vie. En fait, l'esprit de Tarquin sortait de son propre corps pour se loger dans celui de Yukimura dans les tréfonds de son cerveau. Il y rencontra ainsi les deux esprits qui s'étaient voué une haine terrible malgré qu'ils cohabitaient. Maintenant trois esprits dans un corps, de quoi faire trembler les légendes. Il reconnut le visage de Yukimura, même traits, même yeux, puis celui de Malpercio qui était comme dans les livres mythique. Il s'approcha alors de lui et lui fit comprendre :

"Débarassons-nous de cet esprit inférieur Malpercio, je te laisserais diriger le pays si tu veux, mais tu ne me dirigera pas moi, nous serons égaux, toi étant chef du monde et moi, chef d'autre chose que je t'expliquerai par la suite."

Malpercio ne se montrait pas contre cette idée mais avant que les deux âmes ne se mettent au travail afin de chasser le pouvoir qu'avait Yukimura sur le corps, Tarquin fit entendre :

"Ecoute Malpercio, j'impose une deuxième condition, l'âme de Yukimura ne mourra pas. MAIS, je ne souhaite pas non plus qu'elle ait une autre raison d'existence que celle-ci, celle de m'être à jamais soumise en quelques sorte. Bien sûr, ce n'est qu'une proposition parmi d'autres."

Puis l'esprit de Tarquin se matérialisa en la même apparence que celle qu'il a à l'extérieur. Rien de tel que la chasse au bon esprit pour commencer la nuit. Puis il dit d'une voix plus ferme et qui semble également plus disctincte à Malpercio - cepandant ce n'est pas encore la même que celle qu'il a réellement :

"Bien sûr si tu n'acceptes pas, je m'en vais et tu resteras toujours avec la moitié du corps sous l'influence de l'âme de Yukimura."

L'expression de Tarquin ne pouvait changer car ce n'était qu'une apparence. Mais il sentait une mauvaise confiance venant de Malpercio. Celui-ci ne lui accordait pas une entière confiance. Mais Tarquin ne se laissa pas s'avouer vaincu et continua de plus belle :

"Ecoute Malpercio, sur le moment là je n'ai que cett proposition, mais laisse moi alors te l'expliquer plus amplement. Lorsque il restera une partie de Yukimura qui est l'obéissance envers moi. Mais je ne souhaite pas en faire mon esclave. Il vivra sa vie alors que tu dirigeras ce corps ainsi que le monde, mais si jamais j'ai besoin de lui alors il devra m'aider, c'est aussi simple que ça. Tu auras donc la totalité du contrôle de ce corps, car si je veux qu'il m'aide dans quelque chose, j'ose penser que tu serais d'accord toi aussi."

Bien que Malpercio fut un dieu, Tarquin lui parlait comme s'il était un autre vampire méfiant, mais ce n'est qu'un détail.

Tarquin ne pouvait alors plus rien faire pour cet esprit à la fois assoiffé de pouvoir mais craintif de contrôler un corps. C'est d'un ridicule. Tarquin ressortit alors du corps de Yukimura qui restait profondément endormi. Mais l'effet du gaz allait normalement bientôt se dissiper et enfin Tarquin pourrait parler plus tranquillement en profitant de la faiblesse de Yukimura qui est d'être attaché. Lorsqu'il se fut pleinement réhabilité à son corps, il appela Mona qui arriva en trombe et joyeuse que Tarquin soit revenu sain et sauf. Elle lui demanda alors :

"Tu as donc réussi ? C'est super ! Mais que comptait-tu faire ? Et pourquoi dort-il ? Qu'as-tu fait ?
- Et bien je me suis juste entretenu avec Malpercio en personne. Je lui ai proposé un marché qu'il a refusé. C'est donc pourquoi sa vie ne continuera pas demain.
- Ca ne me dit pas pourquoi il dort.
- Ah ça, c'était pour mieux parler à Malpercio.
- D'accord... elle est bizarre ton histoire.
- Je sais mais j'ai des secrets que je ne peux garder que pour moi. Mince, le Soleil est déjà en train de pointer, assure-toi que les cordes soient bien serrées, qu'il n'ait plus aucune arme en main puis va te procurer des rideaux très sombres pour que la lumière ne filtre pas. Quant à moi, je file, mes cauchemars m'appellent."

Puis à pleine vitesse, il se dirigea vers son cercueil qui était installé dans la chambre. Il s'y installa très rapidement et le couvercle tout juste refermé, déjà il sentait l'engourdissement dans ses membres dû au Soleil. S'il ne l'avait pas frappé hier, aujourd'hui c'est le cas.

Mona quant à elle, ne voulair pas réellement que ce Yukimura ne se fasse tuer car elle le trouvait plutôt beau garçon mais ce que voulait Tarquin, elle était obligée d'y agréer car elle en craignait les répercussions. Elle ressera alors les liens fermement du mieux qu'elle pouvait même si elle devait se brûler les mains pour ça. Les liens bien serrés, elle partit alors vers les ruelles où elle espérait y trouver un commerçant de rideaux en fermant soigneusement la porte à clé.

Tarquin faisait un cauchemar, ce qui est plutôt naturel pour un vampire. Dans celui-ci, il se revoyait étant très jeune, à l'époque où il vivait encore avec ses parents. Il travaillait la terre hardemment, faisait souffir ses muscles d'une intensité qui dépasse celle d'un humain normal. Il était vampire sans l'être vraiment. Le songe sembalit étrangemment vrai, il ressentait encore des sentiments bien qu'il soit vampire. C'est alors qu'il vit des hommes drappés de noirs, de rouge et de orange débarquer, emportant ses parents, et les faisant sourffir mille morts. Tarquin était alors comme incapable de bouger bien que ses parents l'appelaient à l'aide. C'étaient comme si ses envies n'avaient aucune relation avec ses mouvements, alors qu'ils sont normalement liés. Mais alors que les personnes vêtues de noir commençaient à lacérer la peau de ses parents, il les vit se pousser pour laisser passer un homme qui ne semblait pourtant pas inspirer le respect, bien au contraire, il était petit et d'un visage qui ferait plutôt fuir de peur. Il reconnut immédiatement ce visage comme étant celui d'Avatar, imbécile né doté d'une sous-intelligence. Il se prenait réellement pour un Dieu, feintant de savoir se battre au sabre alors qu'il ne se contentait que de frapper dans le vide, tentant de faire croire qu'il savait se battre. Mais celui-ci provoquait Tarquin en duel directement. Tarquin le fit s'effondre rapidement, mais aussitôt, les autres membres du groupe lui suataient dessus et il était tellement submergé par leur nombre qu'il en succomba.

De son côté, Mona trouva ce qu'elle recherchait, à savoir du rideau noir impossible à percer malgré une intense lumière comme celle du Soleil. De retour à la maison, Yukimura avait disparu, ne laissant aucune marque de son départ, si ce n'est qu'il n'y avait plus qu'une marque sur le sol, celle où la dague avait été enfoncée. Il avait fui lâchement tel un rat qui creuse pour échapper à la chaleur [je ne sais plus dans quel film c'est dsl]. Elle devait donc attendre que Tarquin se réveille pour recommencer à traquer Yukmura.

Pendant qu'elle mettait les rideaux en place dans toute la maison, Tarquin était plongé dans un autre cauchemar.

Alors qu'il faisait nuit, les étoiles brillaient dans le ciel et Tarquin voyait toutes les constellations briller de mille feux. Il n'arrivait pas à touver la vicitime idéale. Etrangemment, il ne subsistait que les innocents dans la ville. A croire que les criminels avaient mystérieusement disparu. Mais alors qu'il trouva un criminel qui venait de l'extérieur, il entendit des mots contre les vampires. Etant parfaitement sûr qu'il ne s'agissait pas de lui, il n'y prêta pas attention et continua son chemin vers le criminel précédemment vu. Mais alors qu'il allait commencer à discuter avec le criminel pour le mener dans un coin isolé, celui-ci sortit un crucifix. D'abord pensant que ça n'aurait aucun effet, il sourit mais il se sentit soudain comme projeté en arrière, et à mesure que le criminel avançait, Tarquin était obligé de reculer, poussé par une barrière invisible. Il courut alors pour retourner chez lui, à chaque fenêtre ou presque on tentai de lui balancer une fiole d'eau bénite. Une le toucha et le brûla gravement, il ne pouvait plus profiter de sa vitesse habituelle, il n'a donc pas pu l'éviter. De retour chez lu, la porte était fermé et sa force physique plus basse que celle des humains normaux. Il frappa à plusieurs reprises en appelant Mona. Quand enfin la porte s'ouvrit, de nombreux crucifix plus ou moins larges étaient disposés partout dans la maison. Tarquin ne pouvait plus rentrer dans sa propre maison et sa soeur l'avait trahi. Mais alors que sa soeur s'approchait avec un collier d'ail autour du cou, Tarquin reagrda au ciel comme pour implorer les dieux, mais il n'eut pour réponse qu'une accélération du temps, et sans rien pouvoir faire, il sentit le Soleil qui brillait d'un intense éclat sur sa peau qui le brûlait et le faisait tomber en poussière. Les habitants de la ville s'étaient débarassés du vampire qu'il croyaient seul et pouvaient reprendre leur vie tranquillement.

A ce moment là, Tarquin fit virevolter le couvercle du cerceuil. Ce dernier cauchemar était l'un des plus effrayants qu'il ait connu. Ce n'est pas tant par sa destruction mais par la cohérence mélée à l'incohérence du cauchemar. Le fait que sa soeur se retourne contre lui l'avait profondément marqué. Il revint alors voir sa soeur qui s'inquiéta que Tarquin se leva si tôt. Tarquin lui expliqua rapidement ce cauchemar et elle lui promit de ne jamais faire une quelconque action contre son frère. Bien qu'il ne soit que midi, Tarquin commençait à avoir une soif déchirante, sans doute est-ce dû à ces deux cauchemars succesifs. Il demanda alors à Mona :

"Pourrais-tu s'il te plaît aller me chercher une jeune victime, ou même une vieille mais ce sera plus difficile de la transporter jusqu'ici.
- Très bien j'y vais de ce pas, aurais-tu besoin de quelque chose d'autre ?
- Oui j'aimerais que tu contactes une entreprise spécialisée dans les travaux souterrains nommée "Profondeurs de Kéorock". Même si tu pouvais juste me faire obtenir un entretien avec le dirigeant. Voilà c'est tout ce que je demande.
- Alors à tout à l'heure."

Mona veillant à ce que Tarquin sorte de la pièce avant d'ouvrir la porte d'entrée, avait bien une idée de ce que voulait faire Tarquin avec l'Entreprise mais elle n'en était pas sûre et n'y fit plus attention. Alors qu'elle referma la porte à clé, elle aperçut une silhouette divaguer de gauche à droite qui sembalit attendre quelque chose. Mona prit la direction inverse où se situait cette silhouette et alors qu'elle commença sa marche, elle se retourna et aperçut que la silhouette se dirigeait vers elle. Elle pressa le pas mais la rue suivante ne constituait qu'une ligne droite ce qui permettait à la silhouette de ne pas la perdre de vue. Mais alors qu'elle voulut aller plus vite, une de ses dagues tomba et alors qu'elle la ramassait maladroitement, la silhouette la rattrapa lui maintenant la bouche d'une part et de l'autre main, elle tenait fermement un couteau qqu'elle était prête à enfoncer dans le dos de Mona. La voix demanda :

"Donne moi tous tes bijoux, diamants et autres puis tu m'accompageras chez toi, et tu mettras toi-même la maison sens dessous-dessus et me refileras tous les objets précieux. Mais surtout on ne discute pas mes ordres."

Mona s'exécuta, bien qu'elle ne possédait qu'une bague que lui avait donnée Tarquin, elle la conduit chez elle. De retour dans la maison, elle le conduit dans la pièce où Tarquin était sensé se trouver. Celui-ci se leva d'un siège avant de se retourner vers Mona et la cambrioleuse. Puis il dit :

"Tu as fait vite Mona, en plus il semble que tu aies péché une bonne personne.
- Toi n'approches pas où je la plante.
- Tu la plantes et tu vas connaître ce que c'est que d'avoir des problèmes rectaux.
- Je serais bien curieuse de voir ça.
- Crois-moi ça ne tardera pas.
- Bon pour l'instant tu vas chambouler ta maison et me donner tes objets précieux où c'est elle qui va subir les conséquences.
- Par pitié ne me faîtes pas de mal...
- La ferme ou je te troues !
- Et tes propres orifices vont s'élargir grandement si tu insistes.
- Ta gueule et fais ce que je te dis !!"

Tarquin commença à vider les tiroirs pour en sortir les biens des anciens propriétaires. Toutes sortes de pierres précieuses ornaient les bijoux et parures. Puis Tarquin tomba sur une broche pointue qui ressemblait à celles qu'il pouvait y avoir dans la Grèce antique. Il la balança de sang-froid ou preque en direction d'un oeil de la cambrioleuse qui se creva immédiatement. Elle lâcha alors son emprise sur Mona qui rejoignit Tarquin rapidement. Alors que la cambrioleuse se tenait fermement les restes d'un oeil en état de marche, Tarquin s'approcha d'elle et d'un mouvment si rapide que personne sauf lui n'eut le temps de voir, il arracha l'autre oeil. Puis il souffla :

"Maintenant tu vas connaître ce que c'est pour moi des problèmes rectaux. De toute façon tu es déjà morte donc un peu de souffrance en plus ne te fera pas de mal..."

Il prit alors la dague de la cambrioleuse qui était tombée par terre et avc l'aide de Mona, il la déshabillèrent afin de trouver les dagues qui manquaient mais Tarquin décida de retirer tous les vêtement sans gêne. A l'aide de ses deux mains, il positionna les dagues en pyramide. Mona se chargea d'écarter les fesses de la cambrioleuse qui trembalit de peur et de douleur profondes. Puis Tarquin enfonça les quatres dagues d'un trait si bien que pour les retirer, il ne fallait pas avoir peur d'ouvrir encore plus grand la plaie. La cambrioleuse hurla mais personne ne pouvait entendre sauf Mona et Tarquin qui prenaient plaisir à cette scène. Tarquin attrapa ensuite la cambrioleuse en serrant fermement sous les seins puis d'un bref coup de paume, il enfonça encore plus profondément les quatres dagues. Avec une telle blessure, les chances de réchapper à la mort étaient nulles. Donc il enfonça ses dents dans la chair tendre du cou de la cambrioleuse et continuait de savourer l'instant présent. Une fois le corps inerte et sans vie, Tarquin s'en débarrassa en la cachant dans un placard en attendant. Il ramassa alors les bijoux et les remit dans leurs tiroirs respectifs tandis que Mona ressortit de la maison, la tâche de la victime n'étant plus un problème.

Alors que Tarquin finissait de ranger la maison et qu'il allait reprendre sa place avant que la cambrioleuse ne débarque, Mona referma la porte à clé, afin d'éviter que Tarquin ne puisse se faire surprendre par l'éclat du Soleil qui était à son paroxysme aujourd'hui. Mais alors qu'elle commençait à reprendre la route, elle aperçut pour la deuxième fois une personne étrange. Décidément, elle ne serait jamais tranquille. Sauf qu'à la différence de l'autre personne précédente, celle-ci marchait en titubant et directement vers Mona. Mona reconnut le mendiant qui leur avait dit qui était Yukimura, ou plutôt où il se trouvait. Celui-ci l'interpela :

"Dis euh madame, votre copain qui donne des sous, je voudrais lui causer.
- Eh bien c'est impossible pour le moment, vous devrez donc me faire passer le message.
- Bon bah dans ce cas, euh d'après des amis, un gars aurait tué des gens pasque i voulait sa maison. J'ai pas d'infos super précises mais j'crois qui y avait des espèces de flèches ou j'sais pas quoi qui sont sorties du sol et ont empalé le mec qu'a ouvert la porte. Il a dit qu'il s'appelait euh... je sais plus...
- Je vous remercie de votre information, venez ce soir dans notre maison pour votre récompense je vous prie.
- Arf c'est sûr pour de l'argent j'viendrai. Ah oui il s'appelait Edward quelqu' chose ou full metal alchemist."

Puis le mendiant repartit, toujours en titubant. Mona hésitait entre aller directement aux "Profondeurs de Keorock" ou d'aller parler de cet homme à Tarquin. Finalement elle se dit que Ce Edward pourrait attendre. Elle prit donc la direction de cette pseudo entreprise. Elle parvint difficilement à atteindre le directeur qui n'était autre que l'ancien dirigeant de la ville avant que Yukimura ne la prenne car soit on l'invitait à aller boire quelque chose, notamment du vin, ou alors on lui demandait d'enseigner aux hommes l'anatomie féminine. Ceux-là ne sont pas ressortis sans blessures. D'ailleurs un particulièrement saoûl s'est retrouvé inconscient à longer sur le sol. Elle demanda alors au dirigeant :

"Bien le bonjour monsieur, je voudrai une équipe pour aménager mon intérieur.
- Pourquoi vous accorderais-je une équipe ?
- Parce que j'ai une bonne cassette emplie de bons diamants d'une valeur assez grande.
- Dans ce cas, nous viendront quand vous voudrez.
- Ce soir si ça ne vous gêne pas.
- Très bien, je vous enverrai ma meilleur équipe."

En quittant les "Profondeurs de Keorock", elle cassa la gueule à d'autres mecs qui voulaient jouer avec elle avant de revenir chez elle.

Une fois rentrée à la maison, Mona alla directement faire son rapport à Tarquin, qui n'attendait presque que ça. Ce fut elle qui commnça la discussion :

"Alors j'ai deux choses à te dire, soit deux bonnes nouvelles.
- Commence par la moins bien s'il-te-plaît.
- Alors les "Profondeurs de Keorock" passent ce soir, après quelques coups bien placés, j'ai pu voir le chef et il m'a accordé une équipe pour ce soir.
- Voilà qui est très bien. Et la seconde.
- Eh bien notre mendiant de l'autre jour est venu me voir et m'a dit qu'il y aurait un homme doté de pouvoirs assez puissants, en effet il a fait sortir des sortes de pointes du sol, chez un autre homme, et a empalé la personne qui lui a ouverte.
- Voilà un homme intéressant. J'irai le voir ce soir tandis que tu resteras ici à attendre les "Profondeurs de Keorock".
- Très bien, je ferai ce que tu veux, d'ailleurs c'est sûrement mieux ainsi.
- Bien évidemment. Bon alors attendons que le Soleil ne se couche."

Puis Mona vint s'installer près de Tarquin.

Tarquin arriva dans sa demeure, l'équipe de Keorock était déjà au travail, ils avaient fait vite. Mona avait déjà tout préparé et ils travaillaient comme prévu à creuser dans la cave. Le tunnel avançait rapidement, Mona avait dû déjà commencé à payer et sûrement pas trois fois rien. Mais à peine rentré qu'on frappait déjà à la porte. Ils agissent très vite les mendiants quant l'appât du gain est proche. Le mendiant lui expliqua rapidement la situation d'Edward et Tarquin partit au pas de course.

L'affaire Edward en partie terminée, Tarquin rentra moins rapidement qu'auparavant puisqu'il n'y avait plus raison de se dépêcher. Alors qu'il rentra, il vit un des membres de l'équipe de Keorock couché par terre, le visage ensanglanté. Il était inconscient, une violente frappe sur le visage s'était produite. Il alla voir l'avancement des travaux. Les hommes étaient toujours là et Mona tenait fermement une barre de fer, sans doute celle qui avait servi à assomer l'autre type plus haut. Il alla lui parler directement :

"Bonsoir Mona, coment avance les travaux ?
- Bien si tu mets à l'écart l'autre imbécile qui croyait profiter d'une femme qui semblait sans défense tout va bien. Ils travaillent bien vite ces hommes là, sans doute l'appât de l'argent.
- Sans aucun doute, à moins que ce ne soit pour cause de menaces.
- Ah non, cela pourrait provoquer un mauvais travail.
- Exactement Mona, je suis fier de t'avoir comme soeur.
- Hi hi hi...
- Bon alors laissons leur faire une pettie pause, sinon ils vont lâcher. Tarquin se retourna vers les hommes qui travaillaient durement et les appela. Pause générale ! Quelle boisson aimeriez-vous boire ? Nous avons un grand choix d'alcool ou de boisson sirotées.
- Et bien peut-ête avez-vous de la bière ? demanda le responsable de l'équipe.
- Bien évidemment, suivez-moi."

Tarquin les mena au rez-de-chaussée, les emmena dans le salon où ils s'installèrent ou ils pouvaient. Tarquin ramena un tonneau de bière empli de ce liquide qui est vital pour certains. Ils se servirent tous une fois et la pause dura trente minutes afin qu'ils puissent récupérer le plus possible. Au bout de ces trente minutes, ils retournèrent au travail, dans l'idée du trésor qui les attendrait. Tarquin alla alors s'isoler, réfléchissant à une aute personne qui pourrait alors un jour venir dans ce pays afin d'y faire régner la confrérie noire s'il arrivait malheur à Tarquin.

Tarquin sortait alors de sa méditation intensive mais son choix n'était toujours pas fait. Il y avait deux personnes potentiellement capable de prendre la relève en cas de problème pour Tarquin. Mais il savait parfaitement que si l'un était choisi, l'autre ne lu ien voudrait pas pour ce choix ; cela dit, tout peut encore arriver. Mais l'heure n'était pas à envisager le pire. Il revint voir Mona ainsi que les travailleurs acharnés. Les travaux finiraient surement à la fin de la nuit mais une grande récompense était à la clé donc il se fichait de devoir travailler toute la nuit. D'ailleurs certains préféraient travailler la nuit au frais plutôt que la journée où la chaleur peut atteindre une température élevée. Puis il décida de sortir voir Edward, pour des raisons personnelles.

Mais alors qu'il sortait, il fut immédiatement agressé par un groupe de trois vampires qui l'attendaient de pied ferme depuis peu. Ce n'était pas une agression au point de vue physique, mais ils l'emmenèrent un peu plus loin en dehors de la ville. De nature calme et silencieuse, Tarquin ne les attaqua pas directement, d'autant plus que s'ils voulaient le tuer ils l'auraient déjà fait. Un des membres du groupe vint se placer devant lui et débuta la discussion :

"Dis-moi toi, d'un air supérieur, tu crois pouvoir diriger les gens à ta guise ? Je t'ai vu offir cet argent à ce mendiant. Pourquoi tu lui donnes du pognon alors qu'il va le lapider en alcool ? Tu crois faire quoi comme ça ?
- Alors d'abord tu vas me parler mieux que ça si tu ne veux pas rejoindre le néant, car si tuer il faut je tuerai. Puis, je donne de l'argent à ce mendiant car il me rend service, je ne l'achète pas mais je le récompense en fonction du service qu'il me rend.
- Menaces en l'air ! La règle stipule qu'un vampire ne doit pas tuer un autre vampire. Ce qui est condamné à mort.
- Vraiment ?

Tarquin poussa alors violemment ce qui ressemblait à un chef puis sortit son sabre et tranche le corps d'un des trois vampires en deux. Un deuxième tenta de s'enfuir mais Tarquin utilisa ce qui ressemble à des pattes d'araignée pour embrocher le fuyard qui s'écroula immédiatement après que Tarquin ait relâché son emprise. Puis il reprit :

"Alors tu crois toujours que je ne peux pas tuer ? D'ailleurs, te voyant trembler ainsi, j'ose imaginer que tu iras prévenir d'autres vampires de mon acte mais ceci est quelque chose que j'empêcherai. Tu vas mourir maintenant, au milieu de tes acolytes."

Tarquin tendit alors le bras gauche où le lanceur de dards était fixé fermement. Puis par trois mouvements de poignet, il envoya trois dards argentés qui allèrent s'enfoncer une dans le cerveau et deux dans le coeur. Le vampire agonisa lentement sur le sol. Tarquin attendit bien tranquillement qu'il finisse par lâcher. Mais le vampire tenait bon. Donc Tarquin s'approcha du corps et écrasa la tête dans le sol afin que le vampire sente la douleur. Puis dans un accès d'imatience, il sortit son sabre et trancha le long du corps sans pour autant toucher le sol puis après l'avoir rangé, il partit pour Malachi.

[ Pourquoi tu passes de la narration au passé à la narration au présent, pour un seul verbe dans ta phrase?

"Tarquin poussa alors violemment ce qui ressemblait à un chef puis sort son sabre" Il vaut mieux le laisser au passé. cela donne une meilleure lecture et une fluidité à ton texte ^^]

[HJ] dsl ce doit être une erreur d'écriture lors de ma frappe. [/HJ]

Tarquin revenait de Malachi le plus vite possible car il n'avait pas fait gaffe au Soleil qui commençait à pointer. Autant il profitait de la vitesse dont il disposait lorsque le Soleil était caché, autant il commençait à souffrir lorsque celui-ci apparaissait de temps en temps. Lorsque ce fut le cas, il sentit sa peau le brûler terriblement, comme si il avait été jeté dans un four et qu'on avait mit plein gaz pour que la température soit maximale. Il allait alors de placer dans les zones d'ombre qu'il peut trouver, mais cela n'apaisait que légèrement la douleur. Des voyageurs potentiels auraient pu le remarquer, mais aucun ne pouvaient l'identifier. La route fut difficile mais il parvint tout de même à rentrer sain et sauf, bien qu'il fut plus brûlé qu'il ne l'avait jamais vu. Sans le moindre mouvement vers le salon, il alla directement dans la chambre où l'attendait Mona, inquiète. Lorsqu'elle l'aperçut, elle fut horrifiée par les marques de brûlures. Elle tapota légèrement ce qui fit faire à Tarquin un sursaut énorme et qui fit Mona se refermer sur elle-même. Elle s'excusa mais Tarquin ne lui en voulut pas, n'importe qui aurait touché pour voir de quoi il en retournait. Tarquin se déshabilla complètement, car le contact des vêtements le brûlait fortement. Cela ne gênait en rien Mona, au contraire. Tarquin resta debout car s'il s'asseyait ou s'allongeait, il sentirait les douleurs à travers tout le corps. Les blessures commençait à disparaître mais elles mirent plus de temps car le jour, bien qu'il ne passait pas au travers des rideaux noirs, agissait comme un facteur parasite. Quand les blessures eurent fini de se cicatriser et ensuite de disparaître, Tarquin se rhabilla, au grand désespoir de Mona. Il commença alors à raconter les faits de Malachi. Il n'insistait sur aucun point, ne se vantait nullement pour s'attirer les mérites. Mona lui expliqua que les travaux étaient fini dans le sous-sol, et Tarquin décida qu'il irait voir ça, sitôt qu'il se serait reposé. Mona en fit de même, bien qu'elle ne put pas dormir dans le cercueil avec Tarquin. Il devrait donc attendre que la journée commence à se dissiper.

[ HJ ] dis donc Yuki sais-tu lire ?

Tarquin Blackwood a écrit:

Mona lui expliqua que les travaux étaient fini dans le sous-sol

Si les travaux sont finis, alors ils sont partis. Juste une question de logique. [ /HJ ]